L'Histoire du Rond-Point
Publié le 24/05/2017

Meilleurs souvenirs du Rond-Point


Vidéo album de Jean-Daniel Magnin

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Autres épisodes :

Quinze ans de Théâtre du Rond-Point racontés par ceux qui l'ont fait, avec des interviews originales et des archives tirées de ventscontraires.net, la revue en ligne du Théâtre du Rond-Point.


durée : 36 min

générique :

Meilleurs souvenirs du Rond-Point
Vidéo album de Jean-Daniel Magnin

Avec par ordre d’apparition :
voyageurs de la gare de Lyon, Yann Frisch, Edouard Baer, Jacques Bonnaffé, Zabou Breitman, Michel Fau, Sophie Perez, Pierre Guillois, Marthe L'Huillier, Bernard Pivot, Rémi De Vos, Kery James, Bertrand Delanoë, Dada Masilo, Anne Benoit, Dominique Reymond, Hélène Ducharne, Arnaud Pontois Blachère, Mélanie Lheureux, Annik Le Goff, Michel Onfray, Etienne Klein, Philippe Decouflé, Nicolas Bouchaud, Pierre Notte, Jean-Paul Muel, Daniel Pennac, Gilles Gaston-Dreyfus, Marie Rémond, Nelson Monfort, Marion Aubert, Elisa Benslimane, Julia Passot, Olivier Martin-Salvan, Boris Cyrulnik, Kader Aoun, Michel Serres, Erik Orsenna, Marjane Satrapi, Pierre Meunier, Alain Rey, Alexis Macquart, Guy Bedos, Luciano Rosso, Valérie Bouchez, Rodrigo García, Charb, Gérard Mordillat, Plantu, Frédéric Lordon, Mathieu Madénian, Thomas VDB, Ekoué et Hamé (La Rumeur), Wary Nichen, Edwy Plenel, Jean-Michel Ribes, Babx, Gaël Faye, Christine Taubira, Jacques Gamblin, l'équipe du Théâtre du Rond-Point
 
Musique : L’Orchestre du Rond-Point
composition et arrangements Gilles Normand
David Lescot, Jean-Claude Leguay, Christian Hecq, Philippe Fretun, Guillaume Monard, Jean-Daniel Magnin, Lionel Dublanchet, Emilie Rambaud, Jean-Philippe Vallet, Pierre Grisar, Bruno Allain, Gilles Normand

Réalisation et montage : Jean-Daniel Magnin
avec des archives de ventscontraires.net , la revue en ligne du Théâtre du Rond-Point
et des photographies de Giovanni Cittadini Cesi


Découvrez l'histoire fabuleuse du Rond-Point

Il a été un panorama célèbre où les Parisiens venaient s'ébaudir devant des toiles géantes peintes à 360° – comme dans un Imax d'avant la photographie et le cinéma. Puis une patinoire avec orchestre et salons de velours rouge. Puis une patinoire tout court. Puis enfin, en 1981, un théâtre dessiné par Jean-Louis Barrault...

 

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Le 23 décembre 2010 à 12:00

Viktor Orbán plus rapide que "Poutluscozy"

Carte postale de Hongrie

Comment devenir Poutine en son pays quand aucun pétrole ne coule en Hongrie ? Comment régner tel un Berlusconi radieux sur l'ensemble des médias nationaux, Internet compris ? Légiférer dix fois plus vite que l'hyperprésident français ? Lancer la plus grande chasse aux sorcières depuis la chute du Mur et caser ses lieutenants à tous les étages du système ? Après son élection raz de marée en avril dernier, Viktor Orbán va si vite qu'il a laissé tout le monde sur le carreau : opposition, opinion publique, presse, chancelleries, Bruxelles... En huit petits mois seulement, le nouveau Premier ministre est en passe de devenir un autocrate exerçant un pouvoir absolu sur la Hongrie — en toute légalité. Fort de son emprise sur le Parlement à Budapest (sa machine de guerre, le Fidesz, y tient deux tiers des sièges), il a pu modifier à répétition la Constitution, pomper dans le gisement des retraites privées, faire placarder son credo nationaliste dans tous les établissements publics du pays, distribuer des passeports aux minorités hongroises des pays voisins, savonner le pouvoir de la Haute cour de justice, nommer un champion d'escrime à la présidence de la République et, par exemple, un ancien Hell's Angel des "Motard Goy" à la tête de Radio Petöfi, la meilleure station musicale du pays.Sur Radio Kossuth, le France Inter magyar, un journaliste a eu le courage de faire une minute de silence à l'antenne après avoir annoncé la création d'une Autorité nationale des médias et des communications (NMHH) contrôlée majoritairement par le Fidesz d'Orbán : tous les médias, publics comme privés, devront corriger des informations jugées erronées par la NMHH, sous peine de très lourdes amendes «pour manque d’objectivité politique». Depuis son acte héroïque, on n'entend plus guère le brave homme sur les ondes de Radio Kossuth, il doit être en train de songer à une reconversion radicale.Maigres protestations : plusieurs journaux sont parus mardi dernier avec une première page vide – mais la manifestation qui a suivi n'a rassemblé que 1500 personnes. Les Hongrois sont fatigués de la politique, et Viktor en profite pour courir sur d'autres dossiers. Par exemple l'éviction du metteur en scène Robert Alföldi de la direction du Théâtre National, après qu'un parti d'extrême droite ouvertement anti-rom et anti-juif a réclamé sa tête parce qu'il était "une pédale, un pervers, un Juif indigne du théâtre national" (> pétition internationale de soutien).Ah oui, encore une chose : la Hongrie prend la présidence tournante de l'UE au 1er janvier. Viktor sera au centre de la photo. Bonne et heureuse année en Europe !

Le 13 mars 2014 à 10:46

Ma réponse aux accusations de Nathalie Kosciusko-Morizet

Pour répondre aux accusations sur le Théâtre du Rond-Point régulièrement répandues par Nathalie Kosciusko-Morizet dans sa campagne, voici quelques chiffres précis qui montrent que son usage habituel de la contrevérité trouve une fois de plus sa contradiction évidente. Non, le Théâtre du Rond-Point n'est pas une entreprise privée appartenant à Monsieur Jean-Michel Ribes. C'est un théâtre public constitué en SARL au même titre que les Centres Dramatiques Nationaux et donc soumis aux mêmes règles et obligations, le gérant s'interdisant notamment à la répartition des bénéfices. Monsieur Jean-Michel Ribes a été nommé en 2002 à la tête de cette institution par les représentants de la Ville et du Ministère de la Culture sur la base de son projet présenté lors d'un appel à candidature.Oui, la SARL exploite le bâtiment par le biais d'une convention d'occupation signée avec la Ville de Paris (propriétaire) et ce aux mêmes conditions que ses prédécesseurs.Non, la SARL ne bénéficie pas d'un soutien exceptionnel. Il lui est attribué une subvention d'exploitation faisant l'objet d'une convention annuelle d'objectifs signée au terme d'une délibération du Conseil de Paris (dont font partie les élus de Madame Nathalie Kosciusko-Morizet)... subvention qui ne peut supporter comparaison qu'avec les aides accordées aux Théâtres Publics (dont les Théâtre Nationaux) et non aux "confrères" (?) énoncés. Il faut que Madame Nathalie Kosciusko-Morizet sache que le Théâtre du Rond-Point n'est pas un théâtre d'arrondissement.Cette subvention de 1.960.000 euros HT représente moins de 18% du budget annuel de la SARL dont les recettes propres sont de 64% (dont 48% de billetterie et apports artistiques).Non, le Théâtre du Rond-Point n'a pas de mal à remplir ses salles, L'analyse de la fréquentation présentée est totalement fausse.Le Théâtre du Rond-Point depuis l'année 2002 a reçu plus de 2.350.000 spectateurs dans ses trois salles soit un taux de fréquentation moyen de 77%, le plaçant dans les premiers théâtres en terme de fréquentation, sans compter les spectacles du Rond-Point en tournée en France et à l'étranger qui représentent plus de 500.000 spectateurs.Et donc : Non, la situation financière du théâtre ne se dégrade pas au fil des ans.Bien qu'ayant repris en 2002 une situation fortement déficitaire, le TRP à ce jour présente un bilan à nouveau créditeur.Oui, regardez les comptes et réfléchissez.

Le 2 août 2013 à 08:32

"Vous êtes tous des auteurs dramatiques"

Cet été j'écris une comédie puis une tragédie ! Jean-Michel Ribes vous tient la main

Il n'est plus admissible aujourd'hui, alors que la lune est à portée de la main, que l'on guérit et comprend tout, que vous ne puissiez écrire une pièce de théâtre - simplement parce que vous n'êtes ni doué, ni créatif, ni inventif. Nous vous proposons un certain nombre d'éléments qui vous permettront aisément d'écrire un drame ou une comédie, sans avoir un instant recours au talent que vous n'avez pas.20 personnages au choix :- Le Roi - Madame Andrée - le fils - le conseiller - la mère du conseiller - Jean-Claude - Michel son demi-frère - le capitaine de la garde écossaise - Andromaque - Andromaquette - Monsieur Peyrol (peut être anglais ou grec) - le jardinier - saint Antoine - l'Homme qui revient - Hermione - le chanteur musulman - Madame Sardine - Périclès - Richard III du Portugal12 répliques au choix et quelques rimes :1/ Bonjour2/ Tu sais, Michel, si tu continues...3/ La mer tout entière enragée t'emportera jusqu'au port.4/ Je vous rappelle que c'est ma femme que vous aimez.5/ Oui! Oui!6/ Si vous dites demain, je suppose que vous avez vos raisons!7/ Madame, s'il vous plaît... il faut qu'à petits coups de hache je me détache de vous... (Peut être utilisé au masculin en remplaçant "Madame" par Monsieur".)8/ A quelle heure tu rentres (ou "rentres-tu" si on préfère) Jean-François?9/ Juste te regarder sourire, et puis fermer les yeux, et puis t'aimer doucement au fond de moi...10/ Madame, fuyez, le Roi est hors de lui. (A dire essoufflé.)11/ -Hector? Je pensais que vous vous appeliez Alain?12/ Je pense que c'est mieux ainsi Simone, le mensonge n'a pas d'issue. (Si on est gêné par l'allitération ainSi Simone, on peut appeler Simone Bernard.)Pour ceux qui seraient tentés d'écrire une œuvre dramatique en vers, voici quelques rimes :A/ Pain, vain, matin, Simonin, alors, hein!?, cabotin, chien de chasse (enlever "de chasse").B/ Bateau, allô, pas beau, caraco, San Francisco, bateau (attention, très utilisé), Dario Moreno.C/ Chandernagor, changer de bord, alors, tribord, totor, Salvador, bague en or, cors de chasse (enlever "de chasse").4 idées de décros au choix :- la Place Saint-Marc à Venise;- la salle de bains de la fille du personnage principal;- une partie de chasse (enlever "de chasse");- un magasin de canapés.6 intrigues au choix :1/ Le père de Jean s'aperçoit qu'il est norvégien. L'avouer, ne pas l'avouer? Tout se finit bien grâce à Denise qui vient lui rendre visite dans un rêve. Il comprend que c'est elle qu'il aime, il quitte aussitôt son emploi de juriste dans une grande société dont on taira le nom.2/ Urbain de Casterheim, seigneur de Livarie, n'a qu'une fille. Cosme VII, comte d'Estremadure et de Roubaix, n'a qu'un fils. Louis le Pieux dit Louis le Brave (ou le Sérieux), évêque de Tunis, de Saint-Mandé et de Brestlitovsk, n'a qu'un rein. C'est à ce moment de l'action que débarque André, envoyé du pape Camille VI, père de trois jumeaux qui n'ont qu'un oeil.3/ Françoise aime Paul qui ne l'aime pas. Paul aime Catherine qui ne l'aime pas. Catherine aime Françoise dont le vrai nom est Liliane.4/ Jean se réveille sur une île déserte perdue au milieu de l'océan. Soudain il aperçoit son visage dans une flaque d'eau et réalise que l'île n'est pas déserte. Bouleversé il se pend. (Pour une pièce en un acte, ou un lever de rideau.)5/ Le docteur F., célèbre psychanalyste, découvre que sa patiente Mireille G. n'est autre que lui-même. Il refuse de la faire payer.6/ Koa-tang vient de mourir, sa femme Tsi-buhli le veille en silence.8 titres au choix :- Cours mon beau printemps;- La Camaraderie;- Le Cendrier attendu;- Le Tigre et la Rascasse;- L'Anniversaire de Paula;- L'Echafaud cartilagineux;- Le Décès de la veuve;- Les Alouettes suisses.Prix des places (quelques propositions) :- 2 euros;- 15 euros;- 23 euros;- 15075 euros.Une fois que vous aurez terminé votre pièce, si vous souhaitez un metteur en scène et des acteurs, vous trouverez quelques conseils pour les choisir dans un prochain article de ventscontraires.net.Bravo d'y être arrivé et merci de ne pas nous envoyer votre manuscrit. Extrait de Multilogues suivi de Si Dieu le veut, © Actes Sud, 2006.http://www.actes-sud.fr/ficheisbn.php?isbn=9782742760701

Le 17 septembre 2014 à 09:27

Gérard Watkins : "Un théâtre à la hauteur de nos craintes et de nos peurs"

Le théâtre de Gérard Watkins s'en va explorer nos intimes blessures, celles que le politique vient creuser au plus profond de notre être, souvent à notre insu. Comme à chaque époque, nos corps et nos esprits sont l'enjeu des batailles que se livent des géants. Aujourd'hui ils sont technologiques. "La différence principale entre un être vivant en 2014, et un autre un siècle auparavant, est l’avalanche d’informations qu’il ingurgite au quotidien. L’homme moderne est le réceptacle d’un savoir aussi superficiel que volumineux. Il est assiégé par une quantité infinie de détails qui ne le concernent pas mais qui savent se prétendre indispensables. Il doit consommer l’information au même titre qu’il doit consommer l’instrument qui le transmet et l’habitacle qui l’héberge. Il a donc su développer un réflexe pour se protéger, survivre :il tente de se constituer une mémoire sélective. Pour cela, il se fraye un chemin et choisit. Il choisit de se souvenir de la Shoah parce qu’il est difficile de faire autrement, mais choisit d’oublier les circonstances qui ont mené à la tragédie. Il se souvient de la joie et de la délivrance que procure une révolution en observant de loin le Printemps arabe, mais oublie d’accueillir en son pays les « dégâts collatéraux ». Il ne peut pas vraiment faire autrement. Il doit choisir, trier, faire ce long travail lui-même, sous peine d’implosion. Personne ne peut faire ce travail à sa place. C’est la seule responsabilité qui lui reste

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